Thomas Siniecki, Media365 : publié le jeudi 10 avril 2025 à 14h11
Le mari de Kate Middleton a vécu à Paris une forme d'aboutissement qu'il a voulu partager en famille.
Jusqu'au dernier moment, pour d'évidentes raisons de sécurité, le mystère planait sur la présence du prince William dans les travées du Parc mercredi soir, pour le premier quart de finale de l'histoire d'Aston Villa en Ligue des champions. Si la soirée ne s'est finalement pas si bien terminée que ça pour le club de Birmingham, vaincu 3-1 sur cette manche aller, ce sont bien les visiteurs qui avaient ouvert le score à la 35e minute de jeu, ce qui a alors provoqué une effusion de joie assez inhabituelle chez le fils du roi Charles III (âgé de onze ans). Accompagné lui-même de son fils George, il n'y avait pas de protocole qui tienne !
"Si ça ne se passe pas bien, je commence à bouger et je déplace les enfants"
"Je veux qu'il fasse l'expérience d'une grande soirée européenne loin de chez lui, ça fait 43 ans que ce n'est pas arrivé et j'espère qu'il ne se passera pas le même temps avant le prochain quart de finale, mais c'est vraiment important de créer ces souvenirs", lâchait l'héritier de la couronne britannique avant le match (pour TNT Sports). Malheureusement, il n'a pas pu changer sa progéniture de place aussi facilement qu'à la maison, un rituel qu'il expliquait le mois dernier au Sun : "Si je suis seul à la maison avec les enfants, je ne prendrai probablement pas la pinte d'avant-match, mais j'ai une certaine superstition quant à l'endroit où je m'assois quand regarde les matchs. Si ça ne se passe pas très bien, je commence à bouger dans la maison assez rapidement et je mets les enfants dans différentes positions, en espérant que ça va changer le cours de la rencontre."
Mais pourquoi le prince William supporte-t-il l'équipe de Birmingham ? Tout simplement parce qu'il s'agit d'un outsider et que dès son adolescence, il a voulu se démarquer de ses camarades qui soutenaient tous Manchester United ou Chelsea. La Coupe des Coupes remportée en 1982, son année de naissance, a fini de le convaincre. Il cite John Carew ou Martin O'Neill, le manager de l'époque de Championship (deuxième division) en 2016. "A ce moment-là, mon soutien s'est encore renforcé." Il bénit également les smartphones, qui lui ont permis de suivre plus facilement son équipe depuis une dizaine d'années, sans avoir besoin de rester forcément devant la télévision. Il se rend aussi sur des forums en ligne afin d'échanger avec les autres supporters, sous pseudo bien sûr.