Marie Mahé, Media365 : publié le mercredi 30 avril 2025 à 10h40
A l'issue de la demi-finale aller de Ligue des champions perdue contre le Paris Saint-Germain, le défenseur central international français d'Arsenal William Saliba (24 ans) a reconnu la supériorité de son adversaire.
L'espoir n'est pas totalement perdu. C'est ce qui ressortait des rangs des joueurs et membres du staff d'Arsenal, ce mardi soir, à l'issue de la demi-finale aller de Ligue des champions perdue, dans leur antre de l'Emirates Stadium, contre le Paris Saint-Germain (0-1). A l'image de William Saliba. Au coup de sifflet final, le défenseur central international français d'Arsenal (24 ans) s'est exprimé au micro de Canal+. Le défenseur central s'est notamment penché sur la demi-finale retour prévue, entre les deux clubs, mercredi prochain à 21h00, du côté du Parc des Princes, dans des propos rapportés par l'AFP : "On a perdu le premier match, il y en a un deuxième, il va falloir montrer qu'on a du caractère." L'international français a également tenu à insister sur le fait que la plus prestigieuse compétition européenne des clubs avait déjà connu, par le passé, "beaucoup de choses folles".
Saliba : "On s'est réveillé après mais on n'a pas réussi à égaliser"
L'optimisme reste donc de rigueur, avant la seconde manche, d'autant plus avec seulement un petit but de retard : "On va essayer de faire la même chose pour ce prochain match." Selon William Saliba, dans cette première manche, son club d'Arsenal pourra regretter son début de match : "Les 20 premières minutes on a beaucoup souffert (...) On s'est fait un peu manger. On s'est réveillé après mais on n'a pas réussi à égaliser. A 1-0, il ne faut pas qu'on baisse les bras." Dès la 4e minute de jeu, le Paris Saint-Germain était parvenu à ouvrir la marque, par l'intermédiaire de son ailier international français Ousmane Dembélé (27 ans). Au début de la seconde période, Arsenal avait bien réussi à égaliser, grâce à Mikel Merino, mais celui-ci avait finalement vu son but être annulé pour une position de hors-jeu. Il reste donc désormais au moins 90 minutes, minimum, à Arsenal pour tenter de déjouer tous les pronostics et s'offrir sa toute première finale de Ligue des champions depuis 2006.