Paul Rouget, Media365 : publié le mardi 17 août 2021 à 11h42
Pour son premier entraînement collectif avec le PSG, Lionel Messi a fait parler toute sa classe face à ses nouveaux coéquipiers. Ses grands débuts avec le club parisien semblent proches...
Le Paris Saint-Germain est vraiment entré dans une autre dimension avec l'arrivée de Lionel Messi, présenté en grande pompe avec les autres recrues de l'été samedi soir avant la victoire des hommes de Mauricio Pochettino contre Strasbourg (4-2), pour le premier match de la saison dans un Parc des Princes incandescent qui n'avait d'yeux que pour sa nouvelle star. Lundi, il a participé à son tout premier entraînement collectif. Et, preuve de l'immense popularité du sextuple Ballon d'Or, une vidéo d'une minute publiée lundi soir sur Twitter et montrant ses débuts à l'entraînement cumule déjà 1,6 millions de vue sur le réseau social. On y voit un Messi très en jambes, et qui martyrise déjà ses adversaires. Des nouveaux coéquipiers effacés sans trembler par le génial argentin, qui a notamment dû éviter un tacle de Marco Verratti et prouve qu'il n'a rien perdu de son sens du but.
S'il semble en forme, un peu plus d'un mois après avoir remporté la Copa America face au Brésil de son ami Neymar (1-0), on ne sait pas encore quand il pourra effectuer ses débuts très attendus sous ses nouvelles couleurs. Ce sera a priori trop juste pour le déplacement à Brest de vendredi, mais il pourrait être de celui à Reims neuf jours plus tard. Et on peut attendre à ce qu'il soit titulaire au retour de la trêve internationale, le 12 septembre contre Clermont au Parc. Mais même sans lui, les matchs du PSG font désormais recette en Argentine. Olé rapporte ainsi que la rencontre de la deuxième journée de Ligue 1 entre Parisiens et Strasbourgeois, diffusée sur ESPN, a été autant suivie qu'un Clasico entre le Real Madrid et le FC Barcelone quand Messi évoluait encore avec le club blaugrana ! Et elle a fait trois fois plus d'audience que le choc de Premier League entre Tottenham et Manchester City dimanche. Et dire que « la Pulga » ne jouait même pas...