Marie Mahé, Media365 : publié le samedi 29 mars 2025 à 08h40
L'OL avait pourtant réalisé une grosse première période, sans être récompensé, avant donc de couler à Strasbourg (4-2), ce vendredi soir. Corentin Tolisso a ensuite tenté d'expliquer cette débâcle.
L'Olympique Lyonnais a fini par couler. Ce vendredi soir, l'OL s'est lourdement incliné sur la pelouse de Strasbourg (4-2), en ouverture de la 27eme journée de Ligue 1. A la pause, le score était encore nul et vierge. Pourtant, lors de la première période, les Lyonnais s'étaient montrés particulièrement séduisants, étouffant même leurs adversaires. Les hommes de Paulo Fonseca s'étaient procuré les meilleures occasions. Dans sa cage, le gardien de but serbe de Strasbourg Djordje Petrovic (25 ans) a même été l'auteur d'un total de six interventions. De quoi préserver sa cage inviolée et surtout permettre aux siens de rester dans le match.
Tolisso : "C'est compliqué"
A l'issue de cette rencontre, Corentin Tolisso est forcément notamment revenu sur ce premier acte, qui coûte donc bien cher aux siens, dans des propos relayés sur le site internet officiel de son club : "C'est compliqué. La première période était quasi parfaite mais il a manqué ce but. On était conscients qu'ils allaient revenir forts en seconde période mais on n'a pas su rester soudés. Il fallait être plus forts que ça. Je pense qu'on a péché mentalement après avoir encaissé le premier but, un peu physiquement aussi. On a eu pas mal d'opportunités en première période, on a beaucoup de regrets car on méritait de marquer. Il nous reste beaucoup de matchs, on doit rester reconcentré et se remettre au travail." Les Gones n'ont donc pas su marquer les premiers et cela a fait les affaires de leurs adversaires. Dès la 55eme minute de jeu, les Alsaciens ont commencé leur petit festival offensif. Cinq minutes plus tard, le break était déjà fait. A l'arrivée, l'addition est bien lourde, même si Corentin Tolisso puis Georges Mikautadze ont su réduire la marque. L'OL, qui aurait pu monter sur le podium provisoire en cas de succès, recule d'un cran, en sixième position, dépassé par son adversaire du soir, qui ne s'arrête plus.