Marie Mahé, Media365 : publié le samedi 21 juin 2025 à 13h20
Alors que l'Olympique Lyonnais est attendu le 24 juin devant la DNCG, John Textor a tenu à rassurer les supporters de l'OL.
J-3 avant le grand rendez-vous décisif. Ce mardi 24 juin, l'Olympique Lyonnais, rétrogradé, pour le moment, administrativement en Ligue 2, a rendez-vous devant la DNCG (Direction nationale du contrôle de gestion) pour être définitivement fixé au sujet de son avenir. Ce rendez-vous permettra notamment à Lyon de démontrer ses capacités à répondre aux exigences financières du gendarme du football français. Si la décision de la rétrogradation administrative du club était révoquée, l'Olympique Lyonnais pourrait, malgré tout, être interdit de recrutement ou bien encore de voir sa masse salariale être encadrée. En attendant, John Textor, propriétaire de l'OL, également patron de la formation brésilienne de Botafogo, se trouve du côté des Etats-Unis où se déroule actuellement la toute nouvelle formule de la Coupe du monde des clubs. Son club brésilien a même créé l'exploit, en s'offrant le scalp du Paris Saint-Germain (1-0), dans le cadre de la deuxième journée de la phase de poules.
Textor : "Oui je suis confiant pour l'OL"
Avant ce fameux match, le dirigeant américain s'était exprimé au micro de DAZN. Lors de son intervention, John Textor, confiant, a tenu à rassurer les supporters lyonnais, quant à l'avenir de leur club préféré : « Oui je suis confiant pour l'OL. Au niveau financier, on a fait des investissements intéressants ces dernières semaines. On est très à l'aise à ce niveau-là maintenant. Le message aux supporters de Lyon ? Ayez confiance en nous, ayez confiance en notre projet. » Avant de poursuivre : « Avec Botafogo, on a eu la meilleure saison du club en 120 ans et pareil avec Crystal Palace. Je sais que la manière de travailler est différente en France, mais on essaye d'avoir le même type de succès avec Lyon. On aspire à battre des équipes telles que le PSG. Cela va se jouer sur le terrain de football et j'aurai la même attitude quand je reviendrai à Lyon. »