Mercato : Adu était " meilleur que Di Maria " et regrette d'être allé à Monaco

Mercato : Adu était " meilleur que Di Maria " et regrette d'être allé à Monaco
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Guillaume MARION, Media365 : publié le mardi 22 décembre 2020 à 22h50

Présenté comme l'un des plus grands espoirs du football, Freddy Adu a finalement fait une carrière bien loin des attentes placées en lui. Sur un podcast, l'Américain est revenu sur une période de sa carrière en lien avec la Ligue 1.

Le « nouveau Pelé » a fait flop. Présenté comme un futur très grand durant son adolescence, Freddy Adu est finalement à 31 ans dans un club en Suède à l'Österlen FF... Finalement, à moins d'un improbable rebond, l'Américain sera donc passé à côté de la brillante carrière que certains lui prédisaient. Interrogé sur le sujet dans le Blue Wire Podcast, l'Américain est revenu sur un des tournants de sa carrière, qui date de 2008. « La plus grosse erreur que j'ai faite, c'est d'avoir quitté Benfica pour Monaco en prêt. Je le dis du fond du cœur. Si je le pouvais, je ne ferais pas ce choix. J'ai eu trois entraîneurs en un an à Benfica. Le club était dans un tel dysfonctionnement que je voulais juste m'en aller et repartir du bon pied le plus vite possible. Mais cela s'est avéré être ma pire décision », a notamment confié Adu.

Quand Adu était meilleur que Di Maria

Arrivé en Europe à Benfica en 2007, le natif de Tema (Ghana) aurait alors pâti d'une autre arrivée chez les Lisboètes, celle d'Angel Di Maria en provenance de Rosario Central. « J'ai rejoint Benfica en même temps que Di Maria. Et ma première année, j'étais meilleur que lui. Je jouais mieux que lui. Mais j'ai décidé de quitter Benfica pour Monaco. Et Di Maria est resté. Il a eu sa chance et est devenu titulaire. Un ou deux ans après, il est allé au Real Madrid. De mon côté, j'ai pris la pire décision de ma carrière. Et c'est mon grand regret », a également expliqué le « nouveau Pelé », au sujet de ce terrible tournant dans sa carrière. Depuis, Adu a évolué dans 11 clubs et traine une réputation finalement bien trop élogieuse pour ses épaules. A tort ou à raison, une belle carrière tient finalement qu'à un fil.

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