Clément Pédron, Media365 : publié le vendredi 18 avril 2025 à 21h29
En ouverture de la 30ème journée, au quart d'heure de jeu, Arnaud Kalimuendo a eu l'opportunité d'ouvrir le score sur penalty pour le Stade Rennais. L'attaquant a touché deux fois le ballon en frappant et le but a logiquement été annulé.
Le Stade Rennais aurait pu ouvrir le score plus tôt dans cette rencontre de la 30ème journée face au FC Nantes. Si Truffert a trouvé la mire d'une belle frappe dans le petit filet gauche d'Anthony Lopes, le SRFC aurait pu avoir deux buts d'avance. En effet, le club brétillien a manqué le coche au quart d'heure de jeu, sur penalty qui plus est. Après une passe ratée d'Amian en direction de son gardien, Al-Tamari s'est rué vers le cuir dans la surface avant d'être percuté par l'ancien portier de l'Olympique Lyonnais. Arnaud Kalimuendo s'est alors présenté pour concrétiser cette offrande. Mais l'avant-centre s'est complètement manqué ! Après avoir réalisé sa course d'élan, l'attaquant a touché deux fois le cuir au moment de tirer. Une situation similaire à ce que l'on a pu voir récemment avec Julian Alvarez contre le Real Madrid en Ligue des champions.
Lopes fautif, sauveur puis remplacé
Le tir de l'ancien Lensois a logiquement trompé Anthony Lopes avant d'atterrir au fond des filets. Alors que le Rennais avait commencé à célébrer, le gardien nantais, aidé par ses coéquipiers a de suite été voir l'arbitre pour signaler cette touche en trop. L'homme en noir n'a pas eu besoin d'aller voir la Var pour annuler le but. En dépit de cette occasion ratée, les Rennais ont appuyé sur le champignon pour forcer la décision mais Anthony Lopes a sorti deux arrêts de grande classe ! Néanmoins, touché à la cuisse semble t-il à la suite de son duel avec Al-Tamari, l'ex-Lyonnais n'a pas pu résister longtemps et a encaissé un but sans pouvoir y faire quelque chose. Il a ensuite dû céder sa place à Patrik Carlgren et non Alban Lafont. D'ailleurs, il n'a pas été le seul à sortir juste après la demi-heure de jeu puisque Sorba Thomas a fait les frais de la réorganisation tactique d'Antoine Kombouaré.