Thomas Siniecki, Media365 : publié le mercredi 28 février 2024 à 21h24
Découvrez les principales statistiques après la victoire de l'Espagne face aux Bleues (2-0) en finale de Ligue des nations.
Comme le nombre de tirs cadrés par les Bleues mercredi à Séville. Forcément, c'est compliqué pour gagner un match et même pour exister, et il n'y a même eu que deux seules maigres tentatives hors cadre. Les Espagnoles n'ont pas énormément tiré non plus, mais tout de même six tentatives dont quatre cadrées.
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L'Espagne remporte donc la première Ligue des nations féminine de l'histoire, pour ce qui était aussi la première finale internationale de l'équipe de France. Ce qui permet ainsi à la Roja de détenir simultanément les deux titres avec les garçons, vainqueurs l'an dernier en finale contre la Croatie (0-0 a.p., tab : 5-4). Et aux championnes du monde, surtout, d'asseoir leur statut encore frais avant le grand rendez-vous de Paris 2024.
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Les Bleues étaient les seules invaincues durant cette Ligue des nations, puisque l'Espagne s'était inclinée en poule contre l'Italie en décembre (2-3). Les joueuses de Hervé Renard, elles, avaient enchaîné six victoires et un nul entre leur groupe et la demi-finale de vendredi face à l'Allemagne (2-1). Le seul score de parité fut concédé devant la Norvège à domicile (0-0), en octobre.
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C'est la première victoire de l'Espagne face à la France en quatorze rencontres, et tout simplement le premier succès de la Roja dans son histoire contre les Bleues, qui restaient sur dix victoires - dont sept consécutives sur les sept derniers matchs - et trois nuls. La première confrontation avait eu lieu en 1983 en amical à Perpignan (2-0), la dernière en 2019 également en amical à Clermont-Ferrand (2-0). Il n'y avait pas eu de duel en Espagne depuis 2000.
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C'était la meilleure attaque de la compétition face à la meilleure défense, 26 buts inscrits par les Espagnoles contre deux encaissés seulement par les Françaises au coup d'envoi. Prime à l'attaque, donc, mais les Bleues conservent malgré tout le meilleur total défensif en dépit de leurs quatre buts encaissés (dont trois sur le seul Final Four).