D1 Arkema (J19) : Le PSG s'est fait peur

D1 Arkema (J19) : Le PSG s'est fait peur©Media365
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Thomas Siniecki, Media365 : publié le jeudi 06 mai 2021 à 21h08

Le calendrier est remis à jour dans le duel haletant qui oppose le PSG et l'OL en tête de D1 Arkema. Après le succès des Parisiennes sur le terrain voisin du Paris FC (2-3, 19eme journée), le sprint final est plus clair que jamais.



L'essentiel est acquis pour le Paris Saint-Germain, mais ça n'a pas été de tout repos : le succès du club de la capitale, dans le derby chez le Paris FC à Charléty (2-3), permet aux joueuses d'Olivier Echouafni de reprendre la première place du championnat à l'OL. Mais après le doublé de Bruun (21eme, 72eme) et le penalty de Katoto (67eme) qui semblait guider le PSG vers un succès tranquille, un penalty de Catala (1-3, 79eme) puis surtout ce but de Coumba Sow dans le temps additionnel (2-3, 90eme+2), à la suite d'une énorme erreur de relance, a fait frémir les Parisiennes sur un ultime ballon chaud dans leur surface.

Si le PFC était miraculeusement revenu, l'OL aurait donc gardé la première place avec un point d'avance à quatre journées de la fin, avant la grande finale du 30 mai à Lyon - il ne restera ensuite plus qu'un match... "On a toujours envie de jouer, on peut le payer cash mais on est quand même contentes", assure Grace Geyoro. "Ce n'était pas facile, on se fait peur à la fin, mais quatre jours après la Ligue des Champions, on savait que ce serait complique", analyse de son côté Echouafni, qui fait référence à l'élimination en demi-finales de C1 dimanche à Barcelone (2-1, après le nul 1-1 de l'aller).

"On a trop reculé par moments, on a voulu se protéger un peu alors qu'on pouvait marquer. Nous sommes un peu déçus de prendre ces deux buts, mais les trois points sont là. Il fallait beaucoup de volonté et de courage, je ne leur en tiens pas trop rigueur. Je pensais que notre première période serait plus difficile, on a manqué un peu d'efficacité mais on était bien dans les enchaînements." Un seul mot d'ordre, désormais, et c'est toujours le même : "Il faudra tenir, on le sait, pour aller jusqu'au bout."

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