Euro 2024 : Williams, Ruiz, Calafiori... Les tops/flops d'Espagne - Italie

Euro 2024 : Williams, Ruiz, Calafiori... Les tops/flops d'Espagne - Italie ©Icon Sport, Media365

Thomas Siniecki, Media365 : publié le jeudi 20 juin 2024 à 23h48

Découvrez nos tops et nos flops à l'issue de la victoire de l'Espagne face à l'Italie (1-0, deuxième journée du groupe B de l'Euro 2024), jeudi soir à la Veltins Arena de Gelsenkirchen.

Les tops

Nico Williams

Le jeune ailier de Bilbao a été rayonnant sur son côté gauche, mettant constamment au supplice Di Lorenzo. Déterminant sur l'action du premier but, en délivrant le centre qui conduit au but contre son camp, il a aussi frappé la barre transversale en seconde période d'un formidable tir (70e).

Fabian Ruiz

Son début d'Euro est décidément excellent. Après son but génial et sa prestation très complète contre la Croatie, il a largement passé le test italien, notamment en lâchant quelques frappes lointaines bien senties (25e, 41e). Dans la lignée, et même au-delà, de sa fin de saison au PSG.

Gianluigi Donnarumma

Le gardien du Paris Saint-Germain a contrecarré son coéquipier et Nico Williams, mais pas seulement, en s'opposant aussi à Pedri (2e, 53e), Morata (24e, 58e), Lamine Yamal (60e) ou encore Ayoze Pérez dans le temps additionnel (90e+1, 90e+2).

Lamine Yamal

Si le gamin du Barça, seize ans seulement, n'a pas été aussi dangereux que Nico Williams de l'autre côté, son match a tout de même été une réussite. Auteur d'une frappe, il a su donner le tournis à la défense italienne et apporter une menace permanente, ne serait-ce que par ses déplacements.

Les flops

Riccardo Calafiori

Le pauvre buteur contre son camp n'est pas totalement irresponsable sur cette action décisive, tout de même lent à réagir dans une situation extrêmement dangereuse, et pour cause... A l'image des autres défenseurs italiens, il a constamment été sur le fil du rasoir.

Federico Chiesa

Mais les plus grands manques des champions d'Europe en titre, sur ce match où ils n'ont jamais réellement existé, ne vient-il pas de l'autre côté du terrain ? Federico Chiesa, si brillant il y a trois ans, a été d'une transparence totale. Il n'a pas été le seul, mais il est sorti dès la 64e minute.

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