Séville : Sergio Ramos cambriolé, ses quatre enfants dans la maison

Séville : Sergio Ramos cambriolé, ses quatre enfants dans la maison©Panoramic, Media365
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Paul Rouget, Media365 : publié le mercredi 27 septembre 2023 à 15h33

Pendant que Sergio Ramos disputait un match de Ligue des champions avec Séville contre Lens, son domicile a été cambriolé, alors que ses quatre enfants se trouvaient dans la maison.


Les cambriolages des domiciles des footballeurs continuent à se multiplier. Et Sergio Ramos est bien placé pour la savoir. Alors que sa maison madrilène avait été en 2012 la cible de voleurs, qui avaient été chassés par le frère du joueur, c'est son domicile sévillan qui a été cambriolé mercredi dernier, pendant qu'il était en train de disputer au stade Sanchez Pizjuan un match comptant pour la première journée de la phase de poules de la Ligue des champions face au RC Lens (1-1).

Durant la rencontre, des malfaiteurs ont pénétré dans sa villa située à Bollullos de la Mitacion, dans la banlieue de la ville andalouse, dérobant des montres, des bijoux, des vêtements de marque et de l'argent liquide dans une maison où se trouvaient les quatre enfants du joueur, âgés de 3 à 8 ans, ainsi que leurs nourrices, alors que leur mère, la présentatrice Pilar Rubio, était retenue dans la capitale espagnole pour des raisons professionnelles. La police a depuis ouvert une enquête, et les voleurs sont toujours en fuite.

Les cas se multiplient

En plus de plusieurs personnalités, deux joueurs du Bétis, l'autre club sévillan, ont également été cambriolés ces dernières années : William Carvalho et Joaquin. Plus récemment, c'est un ex-coéquipier parisien de Sergio Ramos, retourné cet été dans son club formateur, qui en a été victime. Gianluigi Donnarumma, le portier italien du PSG, a vécu une expérience beaucoup plus traumatisante, en juillet dernier. L'ancien Milanais et sa compagne Alessia ont été ligotés dans son appartement du VIIIe arrondissement de la capitale par plusieurs malfaiteurs, qui auraient dérobé pour près de 500 000 euros de biens.

"J'avais très peur, et encore plus pour Alessia. Je redoutais qu'il lui arrive quelque chose. J'étais impuissant, ligoté, je ne pouvais rien faire. En plus, je ne parle pas très bien le français et c'était difficile d'expliquer à ces gens où se trouvaient les affaires qu'ils cherchaient. Et c'était Alessia, toujours très effrayée, qui se trouvait avec eux. J'étais terrifié à l'idée qu'ils puissent lui faire du mal", avait-il raconté au média transalpin Libero.

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