Guillaume MARION, Media365, publié le 23 février
En conférence de presse, avant d'affronter la Lazio Rome en 8eme de finale aller de la Ligue des champions, Hans-Dieter Flick, l'entraîneur du Bayern Munich, a fait le point sur l'état de son équipe, qui sort d'un intense marathon en février.
Sur une série de deux matchs sans victoire, le Bayern Munich aura à coeur de se relancer ce mardi soir (21h00) en Ligue des Champions. Opposés à la Lazio Rome, les Bavarois espèrent que leur marathon de février, causé par la Coupe du monde des clubs, est désormais une vieille histoire. « Je ne suis pas quelqu'un qui cherche des excuses. Nous devons analyser nos précédents matchs. Nous n'avons pas fait une bonne première période contre Bielefeld, ni face à Francfort. Mais je pense que nous pouvons être satisfaits de nos 2emes périodes, même si tout n'était pas parfait. C'est vrai que quand la Ligue des champions reprend, il faut être au meilleur de sa forme. Ces dernières semaines, nous avons eu beaucoup de matchs, avec beaucoup de pression, et il nous manquait des joueurs clés. Mais cela fait partie d'une saison. C'est difficile aussi pour les autres équipes », a notamment reconnu Hans-Dieter Flick, en conférence de presse.
Klose, l'atout secret du Bayern ?
« Je suis optimiste pour la suite. Nous avons un match de ligue des champions qui arrive et c'est vraiment spécial. Ces matchs sont toujours spéciaux pour nous. Et je m'attends à ce que mon groupe soit motivé. Les matchs de la Lazio contre Dortmund (en phase de groupes) sont dans un coin de nos têtes. Ils avaient très bien joué (victoire 3-1 à Rome et 1-1 à Dortmund). Miro (Miroslav Klose) peut nous aider, que ce soit contre la Lazio ou une autre équipe. Il a un bon regard sur les adversaires et sur les joueurs. Il peut toujours nous apporter quelque chose. Il a joué avec quelques joueurs de la Lazio, a par la suite confié l'entraîneur du Bayern Munich. Et je crois qu'il a évolué pendant quatre mois avec leur entraîneur actuel (Simone Inzaghi), lors de sa dernière année là-bas. Donc évidemment, nous avons parlé de ces choses-là. »